-
L’inceste est une agression sexuelle
Comment la loi définit-elle l’agression sexuelle?
Avant tout, «agression» signifie usage intentionnel de la force envers une personne, contre sa volonté. Par exemple, toucher une personne, la gifler, lui donner des coups ou encore la pousser constituent une agression. Menacer de faire usage de violence est aussi une agression.
C’est ainsi que si quelqu’un menace de vous battre, il y a agression même si la menace n’est pas mise en exécution.
Si une personne tente ou menace de vous agresser mais se trouve empêchée de passer à l’acte, elle pourra se voir accuser de tentative d’agression, ou bien de tentative d’agression sexuelle.
Dans la mesure où vous s’y consentez pas, un baiser, des caresses, la pénétration, la sodomie, ou l’attouchement des parties sexuelles avec la bouche constituent des agressions sexuelles.
Une personne peut être accusée d’agression sexuelle si: elle vous a forcée à des étreintes, des caresses ou à des relations sexuelles avec elle ou bien si elle vous a embrassée ou touchée sexuellement contre votre volonté (sans qu’il y ait aucun signe de violences ou de blessures physiques).
Une personne peut être accusée d’agression sexuelle armée, de menaces à une tierce personne ou d’avoir causé des lésions corporelles, si:
- elle a utilisé ou a menacé d’utiliser une arme(ou une imitation d’arme) pendant qu’elle vous agressait sexuellement
- elle a menacé de blesser quelqu’un d’autre, votre enfant par exemple
- elle vous a infligé des blessures physiques
- elle était avec d’autres personnes qui vous ont également agressée sexuellement
Une personne peut être accusé d’agression sexuelle grave relativement à l’agression sexuelle commise contre vous dans les cas où:
- vous avez été blessée, mutilée, défigurée ou brutalement battue
- votre vie a été mises en danger
Selon ce qui s’est passé, il est possible de porter une accusation contre votre agresseur.
Par exemple, si l’on s’est saisi de vous dans un ascenseur, que l’on vous a amenée dans un appartement, puis que l’on vous a forcée à avoir des rapports sexuels, l’agresseur pourra être accusé non seulement d’agression sexuelle mais aussi d’enlèvement.
Nombreuses sont les victimes d’inceste à ne pas avoir dénoncé leur agresseur. Elles n’osent pas parler publiquement des violences qu’elles ont subies. (Ici nous pouvons parler des femmes aussi bien que des hommes. Il y a beaucoup plus d’hommes qu’on ne le croit qui ont ces même sévices sexuels.) Chacun-e craigne d’être pointé du doigt, de briser leur famille, d’être jugées, revictimisées ou d’être discréditées dans leur profession. Les preuves ne sont pas toujours évidentes à formuler, les agressions sont souvent commises sous la menace et derrière de secrète portes. Et que dire du système judiciaire canadien.
Les procédures judiciaires sont influencées et basées sur les principes de notre droit criminels. Ces principes, doublés de préjugés sociaux envers les femmes, font en sorte que le système judiciaire est souvent très pénibles pour les femmes qui se font agressées. Lire à ce sujet: « Quand la justice n’a rien à voir avec la quête de vérité! »
Mais malgré tout…
OSONS RETROUVER LA PAROLE PERDUE
Lorsque nous décidons de RETROUVER LA PAROLE PERDUE… et de DÉNONCER… (Si nous sommes prêts et en accord avec ces démarches). Nous parvenons ainsi, non seulement à remettre la responsabilité des gestes abusifs à l’agresseur, mais nous nous permettons de libérer et intégrer les charges émotives, corporelles liées à de tels abus, et de ce fait, GUÉRIR EN PROFONDEUR. Nous choisissons de VIVRE enfin pour SOI et reprenons, pas à pas, la Maîtrise de NOTRE VIE. Nous prenons notre place dans le monde, celle qui nous revient…
-
Brisons le silence!
L’abus sexuel, particulièrement l’INCESTE, est un sujet qui n’est pas facile à aborder. Un sujet qui nous rend mal à l’aise, mais qu’il faut tout de même mettre en évidence, étant donné l’énorme proportion de cette «catastrophe sociale» . Osons reconnaître ce fléau pour ensuite trouver ensembles des avenues, des moyens pour rompre cette chaîne qui perdure depuis des générations. Brisons le silence! Cessons de faire les aveugles et les sourds et impliquons-nous concrètement envers une société en mal de vivre. Nous sommes tous concernés de près ou de loin par les abus sexuels. Qui ne connaît pas une personne qui a été agressé sexuellement par un oncle, un grand-père, un frère ou son propre père, et même, par sa propre mère. Il ne faut pas se leurrer… Nous savons que la plupart des abus sexuels se font par les «très proches» de la famille.
Nombre de personnes ayant vécu des abus sexuels intra-familiaux (l’inceste) – nombre de familles – sont inconscientes des stigmates profondes que peuvent laisser de tels abus. Je peux en témoigner étant donné que j’ai moi-même vécu des ABUS SEXUELS, incluant l’INCESTE par mon ex-mari, un médecin de famille, un chauffeur d’autobus, un oncle maternel, un oncle paternel et mon propre père. De tous ces abus, c’est l’inceste paternel qui m’a le plus traumatisé.
-
L’inceste parental, le plus traumatisant
L’inceste parental est le plus traumatisant pour un enfant, car le lien symbolique entre un parent et son enfant est sacré. Un parent est supposé d’être un pilier pour sa famille. Un pilier où l’enfant en toute confiance peut se re-poser en toute sécurité, où il sera aimé dans la pureté, protéger et inciter à développer son plein potentiel…
Lorsque qu’un parent transgresse l’interdit de l’inceste, l’enfant n’a plus de repères, plus de sécurité, plus de protection… Il se sent perdu… Il se coupe de cette réalité, de son corps afin de SurVivre. Les traumatismes s’installent… et créent un déséquilibre tant au niveau psychologique, corporel (sexuel et énergétique) et spirituel.
Devenu adulte, nous nous demandons comment se fait-il qu’un mal de vivre intense persiste en nous. Nous n’osons nous révéler que le noyau central de nos problèmes est lié aux abus sexuels qui ont été perpétré sur notre petite personne dans un lointain passé que nous essayons d’oublier, de fuir dans toutes sortes de dépendances : alcool, drogue incluant médicaments et cigarettes, nourriture, sexe, gambling, sport…
-
Suicide au Québec
Le suicide est une des conséquences des abus sexuels. Nous savons qu’au Québec le taux de suicide est relativement plus élevé qu’ailleurs. Si nous creusons un peu… Nous constaterons que parmi ces âmes en peine, il existe plusieurs cas où l’abus sexuel, incluant l’inceste est une des causes de leur mal de vivre. Sinon la CAUSE ESSENTIELLE de leur mal de vivre.
À mon avis et par mon expérience, les problématiques de l’inceste et du suicide sont intimement liées. Que ce soit la victime ou l’agresseur qui met fin à ses jours, il y a toujours une grande souffrance qui les submerge… et les mène au désespoir… Ils n’ont pas cette capacité de faire face à leur réalité qui les ronge de l’intérieur. De là l’importance d’entamer une thérapie en profondeur et de persister dans cette démarche.
Ais-je le DROIT de ME PERMETTRE de GUÉRIR et enfin retrouver la PAIX et le PLAISIR de VIVRE? Nous avons tous le CHOIX de GUÉRIR ou de DÉPÉRIR. Il en va de notre PROPRE RESPONSABILITÉ.
-
Est-il possible de guérir de l’inceste ou de tout autre abus sexuel?
Pouvons-nous nous libérer de ce mal de vivre, de ces traumatismes? Est-il possible de vivre épanoui même après avoir été abusé sexuellement par un membre de sa famille ou par une autre personne?
Sans hésitation, je vous confirme qu’il est tout à fait réalisable d’atteindre cet objectif. Cependant chacun doit saisir que le temps pour parvenir à la libération de ces traumatismes dépend de plusieurs facteurs.
En voici quelques-uns :
- Votre vécu
- Le degré de votre croyance en votre guérison
- Votre détermination à vouloir guérir
- La thérapie privilégiée
- Le temps alloué à votre travail intérieur avec votre thérapeute, mais aussi avec vous-même à l’intérieur de votre demeure. (Il va de soi que plus vous investissez du temps à vos exercices d’intégration et de ressourcement, plus vous accélérer votre processus de guérison.)
Si vous voulez guérir… Il est essentiel de faire de votre guérison une «PRIORITÉ VITALE». Si j’y suis arrivée vous aussi vous pouvez y parvenir! En travaillant sincèrement dans ce sens, et en ne cessant de croire en votre capacité de guérir, vous pourrez enfin GUÉRIR et ÊTRE. GUÉRIR, C’EST UN CHOIX!
Le PROCESSUS de GUÉRISON est UNIQUE à chaque personne. Certaines personnes choisirons de s’engager intensément dans ce processus… d’autres feront un bout… arrêterons… et peut-être recommencerons plus tard…
Il est IMPORTANT de SAVOIR.. que plus vous intégrer vos blessures en conscience, plus vous reprenez votre pouvoir entre vos mains. Vous accéder alors à vos potentialités et les développer plus rapidement. Des changements substantiels s’opèrent donc dans votre vie. Vous retrouver la JOIE de VIVRE et un PUISSANT DYNAMISME DE VIE qui vous propulse vers un PRÉSENT CONSCIENT et CRÉATEUR. L’INTÉGRITÉ prend une place ESSENTIELLE dans votre quotidien. Vous ne voulez plus vous perdre… Vous voulez demeurez en harmonie avec vous-même et vous respecter.
-
Le pardon
Le pardon est un processus spirituel qui est personnel à chacun. Et nous avons à parcourir ce chemin à notre propre rythme. Nous ne devons surtout pas nous forcer à pardonner… Un pardon forcé, n’est qu’un «pardon illusoire».
Ici je trouve important de noter l’importance de libérer la colère refoulée, car la colère libérée mène à la guérison des traumatismes et au pardon.Lorsque nous résistons à cette colère en la refoulant, elle nous fait souffrir…, elle nous gruge de l’intérieur. Ce processus se fait naturellement à travers et par le coeur, non pas par la logique de la tête. Nous ne pouvons expliquer logiquement et rationnellement cette expérience irrationnellement divine. Lorsque nous arrivons à pardonner, nous recevons ce cadeau comme une grâce qui nous libère en profondeur. La seule manière vraiment efficace pour comprendre le pardon, c’est d’en faire l’expérience directe. Ce n’est pas juste des paroles lancées dans les airs. C’est une aventure spirituelle à travers toutes nos cellules et notre coeur et notre âme.
Pour pouvoir accéder au pardon, il y a donc tout un processus thérapeutique à faire. Respirer à ce qui est… Dans la conscience du présent, je reconnais ce qui est… J’accueille ce qui est… Je me recueille dans ce que je suis… et je lâcher-prise à ce qui est… Ce processus sert à entrer en contact avec nos blessures, les exprimer, les intégrer et les transcender. Entrer dans la souffrance pour s’en libérer et aller au-delà de celle-ci… Ainsi nous faisons un lâcher-prise sur ce qui a été… Et nous sortons de la peau de la victime pour devenir un(e) vivant(e). À travers un amour inconditionnel, nous acceptons notre passé et la personne qui nous a offensé… Nous ne ressontons plus le besoin de combattre… ce que nous désirons plus que tout, c’est d’ÊTRE… en PAIX avec SOI-MÊME.
Je tiens à préciser que PARDONNER ne veut pas dire se mettre à genoux devant un agresseur, de continuer de se faire offenser et de faire comme si rien ne s’était passé… Le fait de pardonner à l’agresseur, n’enlève aucunement sa responsabilité face aux gestes qu’il a commis… L’abus sexuel incluant l’INCESTE, est acte criminel et nous devons protéger nos enfants contre ces prédateurs surnois. Surtout lorsque nous savons ces agresseurs même dénoncés, RÉCIDIVENT… Nous nous devons être TRÈS VIGILANTS…
En ce qui me concerne, je me considère bel et bien guérie… et je peux pardonner à quelqu’un sans pour autant continuer de voir cette personne. Surtout si elle reconnait pas ses torts et qu’elle ne se responsabilise pas face ses actes commis qui sont destructifs et répréhensibles.
Toutefois, si un abuseur reconnait VRAIMENT ses torts, est prêt à FAIRE RÉPARATION, à S’INVESTIR dans un «CERTAIN CHEMINEMENT», selon moi, il est possible de renouer contact avec lui et cheminer avec lui… Pourquoi ne pas avancer dans ce chemin qui peut être libérateur et constructif pour les personnes concernées?!
Ici, je ne parle PAS D’ALLER à l’AVEUGLETTE et se laisser BERNER par les DÉPENDANCES. C’est plutôt un CHEMIN d’INTÉGRITÉ, de RESPECT, de LUCIDITÉ, de RESPONSABILISATION DE SOI, et d’AUTONOMIE AFFECTIVE.
-
Vivre non plus que survivre
L’abus sexuel, particulièrement l’inceste, cause de profondes blessures… Parce nous avons été écorché et que ces plaies sont restées ouvertes, non-intégrées… nous errons dans un monde de souffrances. Nous survivons, nous résistons, nous combattons à travers nos conflits internes… et externes... Nous avons de la difficulté à croire qu’il est possible d’atteindre un bien-être, dans tout les sens du terme. Nous avons peur de VIVRE! De se donner le droit à la VIE! Comme si nous ne méritions pas d’être heureux! Comme si nous n’étions pas digne de vivre tout simplement.
Bien sûr, dans le passé nous avons été profondément blessé… Mais aujourd’hui nous sommes des adultes et nous pouvons choisir de recontacter notre pouvoir personnel qui est caché sous les décombres des ces expériences abusives et découvrir tout le potentiel créateur qui habite et sommeille en chacun de nous.
Pour ce faire, nous avons à être audacieux et courageux… Oser croire que nous aussi, avons le droit d’ÊTRE heureux… d’être bien dans notre peau. AVOIR LE COURAGE DE VIVRE ET NON PLUS QUE SURVIVRE! Oser ÊTRE soi-même à travers sa vulnérabilité. Cela implique d’embrasser la vie dans toute sa splendeur dans les jours ensoleillés comme dans les jours sombres; se relever après un faux pas, la tête haute, sans gêne sans remords, sans culpabilité, sans jugement. Avoir le goût devenir meilleur… de devenir ce que nous sommes réellement en profondeur..
AVOIR LE COURAGE DE VIVRE, c’est de croire effectivement qu’en soi réside une FORCE DIVINE et que nous y sommes liée…
AVOIR LE COURAGE DE VIVRE, c’est d’être en contact avec cette ESSENCE DIVINE qui nous propulse dans un PRÉSENT EN MOUVEMENT, qui nous fait GRANDIR, FLEURIR et S’ÉPANOUIR…
AVOIR LE COURAGE DE VIVRE, c'est aussi de ne pas se laisser apposer des ÉTIQUETTES, et surtout, de ne pas s'y identifier... Au contraire, le TRAVAIL que nous avons à faire à travers notre PROCESSUS DE GUÉRISON est justement de SE DÉSIDENTIFIER de TOUTE ÉTIQUETTE, car nous sommes bien plus que des étiquettes. NOUS SOMMES DES ÊTRES DIVINS.
Comme par exemple, nous devons pas affirmer: « Je suis dépendante affective. » , mais plutôt dire: « J'ai une dépendance affective, mais je suis bien plus que cela... »
-
Les séquelles de l’inceste
L’inceste est le plus traumatisant des abus sexuels car il est vécu avec un ou des membres de la famille, immédiate ou élargie, représentant une figure d’autorité parentale. Le lien symbolique entre l’enfant et le parent est alors détruit… Découvrir la suite
-
Inceste: Les vérités
L’inceste est un sujet délicat, et capital car très répandu et d’un danger énorme. Les psychanalystes voient les choses autrement, prétextant que la plupart des victimes d’inceste n’ont en fait rien vécu et qu’il ne s’agit que de fantasmes, ou encore que le complexe d’Oedipe rende l’inceste logique, et autres sottises. Découvrir la suite
-
Quand la justice n’a rien à voir avec la quête de vérité!
Dans une société juste, tout le monde doit avoir droit à un système de justice juste et impartial. En raison de la façon dont les femmes et les enfants victimes d’agression sexuelle sont traités par le système juridique, ce droit fondamental à la justice leur est nié, par un système qui est pourtant conçu pour les protéger. Découvrir la suite
-
Agression sexuelle - Procédures judiciaires
Pour ceux et celles, qui ont été agressés-es sexuellement , qui veulent sortir de l’ombre, retrouver leur parole perdue et qui sont prêtes à dénoncer légalement leur agresseur, voici un guide à cet effet. J’espère qu’il saura vous aider… Même si nous savons que la loi a des lacunes en matières d’agression sexuelle l’égard des femmes et des enfants, nous ne devons pas rester enfermer dans le mur du silence. Nous devons par nos actions faire bouger les choses pour que les lois puissent changer. Agresser sexuellement, c’est intolérable : le système de justice canadien doit cesser de banaliser la violence sexuelle, dont l’INCESTE. Découvrir la suite
-
Agression sexuelle – Shéma des étapes judiciaires
-
Dénonciation inceste entre frère et soeur
75 ans plus tard, madame Cécile Ringuette âgée de 87 ans obtient justice . Madame Cécile Ringuette âgée de 87ans vient de tourner une page importante de son passé. Elle vient d’obtenir une compensation financière de 40000$ à la suite de gestes incestueux commis par son frère, il y a 75 ans. Découvrir la suite
-
Les abus laisse une trace biologique dans l’ADN des victimes
Les maltraitances, les viols, l’inceste… laissent des traces dans l’ADN jusqu’à 3 générations. Toutefois, cette recherche affirme aussi tout comme moi, la BONNE NOUVELLE… Cette trace on peut l’effacer de notre tête et de notre ADN par les thérapies. Cette recherche apporte la confirmation et l’importance de nettoyer, intégrer en conscience les blessures ancestrales, telle que l’INCESTE. Il en va de notre propre génération, mais aussi pour les générations futures (nos enfants, nos petits-enfants-nos arrières-petits-enfants…) Vidéo :
-
Agression sexuelle: les garçons aussi
Les nombreux scandales qui ont éclaté ces dernières années relativement aux abus sexuels commis dans les institutions religieuses ont amené plusieurs hommes à briser le silence. On commence à peine à parler d’abus à l’endroit des garçons, mais il était temps. Reportage en rediffusion à l’émission Une pilule, une petite granule à Télé-Québec.tv du 12 septembre 2013 au 30 mars 2014.
-
Mémoire traumatique et le concept de la résilience
Boris Cyrulnik est un neurologue spécialiste de l'éthologie. Il a surtout travaillé sur le concept de résilience (capacité à surmonter un choc traumatique).
-
Parentalité après l’inceste
Un sujet sensible. Comment devenir parent quand on a été victime d’inceste? De nombreuses recherches ont été fait sur cette question. Les témoignages sont rares. Deux femmes directement concernées ont accepté de témoigner.
-
Pédophilie: prévenir le passage à l’acte
Il s'agit d'une expérience unique en France. Une association propose de venir en aide aux victimes de pédophilie et aussi d'épauler des pédophiles. Quelques-uns sont passés à l'acte, ont parfois été condamnés alors que d'autres font appel à l'association Ange bleu pour éviter de franchir le pas.
Lien vidéo -
Se protéger des drogues du viol
Comment se protéger des agresseurs qui se servent de drogues pour arriver à leurs fins? La première à faire, instaurer la VIGILANCE en s'informant... en observant notre manière d'agir avec les autres, ainsi que notre capacité à se protéger d'éventuelles agressions.
-
Perdues dans le diagnostic! Les survivantes de l’inceste dans le milieu psychiatrique
Kathleen Whipp, psychothérapeute et consultante, elle travaille à Delta, près de Vancouver, au Canada. Sa thèse de maîtrise est à la source de plusieurs formations destinées aux professionnels de la santé mentale travaillant avec les survivantes d'abus. Ces formations parlent entre autres, de la sécurité des patientes traumatisées à l'hôpital et des besoins des survivantes d'inceste et d'autres traumatismes en milieu psychiatrique.
Elle-même survivante de traumatismes. Ses deux parents étaient alcooliques et elle a vécu beaucoup d'abus. Pour son projet « Perdues dans le diagnostic », elle a interviewé dix femmes d'Ottawa, toutes des femmes exceptionnelles, survivantes d'abus, mais qui se portent maintenant très bien. Ces femmes ont été utilisatrices du système psychiatrique pendant plusieurs années. Elle leur a demandé de lui raconter leur péripéties dans le système de santé mentale; ce qu'elles cherchaient lorsqu'elles sont allées à l'hôpital; ce dont elles avaient besoin, et ce qu'il leur est arrivé.
-
L'abus sexuel ça arrive aussi aux garçons
L'ABUS SEXUEL ça arrive aussi aux GARÇONS
Publié sur Youtube le 10 octobre 2020L'abus sexuel ça arrive aussi aux garçons. Le Collectif National sur la Victimisation Sexuelle au Masculin (CNVAM) vous présente cette capsule de sensibilisation recueillant les témoignages d'hommes ayant vécu des situations d'abus sexuel en enfance.
"L'agression sexuelle en enfance touche environ 10% des hommes"
SOIT AUTOUR DE 839 000 D'HOMMES AU QUÉBEC
ET 4 MILLIONS AU CANADA
Lire nos billets de blogue traitant de "PRÉVENTION & PROTECTION"